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Le 07/08/2013
Il était une fois, au temps d’avant le temps,
une Petite Âme qui dit à Dieu : « Je sais qui je suis ! »
Et Dieu dit : « C’est merveilleux ! Qui es-tu ? »
Et la Petite Âme cria : « Je suis la Lumière ! »
Dieu sourit d’un grand sourire. « Oui, c’est ça ! » s’exclama-t-il.
« Tu es la Lumière. »
La Petite Âme était si heureuse,
car elle avait résolu le mystère
que toutes les âmes du Royaume étaient venues résoudre.
« Wow, » dit la Petite Âme, « ça c’est vraiment cool ! »
Mais bientôt, de savoir qui elle était ne lui suffit plus.
La Petite Âme sentait des remous à l’intérieur,
et maintenant elle voulait être celui qu’elle était.
Et donc la Petite Âme retourna voir Dieu
(ce qui n’est pas une mauvaise idée
pour toutes les âmes qui veulent être Celui qu’Elles Sont Vraiment)
et dit : « Salut, Dieu ! Maintenant que je sais Qui Je Suis,
est-ce que j’ai aussi le droit de l’être ? »
Et Dieu dit :
« Tu veux dire que tu veux être Celui Que Tu Es Déjà ? »
« Eh bien, » répondit la Petite Âme,
« c’est une chose de savoir Qui Je Suis,
et une autre totalement différente de l’être vraiment.
Je veux sentir ce que ça fait d’être la Lumière ! »
« Mais tu es la Lumière, » répéta Dieu, avec un autre sourire.
« Oui, mais je veux voir comment on se sent ! » s’écria la Petite Âme.
« Bon, » dit Dieu avec un petit gloussement,
« je suppose que j’aurais dû le savoir.
Tu as toujours été le plus aventureux. »
Puis l’expression de Dieu changea. « Il y a juste une chose… »
« Quoi ? » demanda la Petite Âme.
« Eh bien, il n’existe rien d’autre que la Lumière.
Vois-tu, je n’ai rien crée d’autre que ce que tu es ;
alors, il n’y a pas de manière facile pour toi
de faire l’expérience de Ce Que Tu Es,
puisqu’il n’y a rien que tu n’es pas. »
« Hein ? » dit la Petite Âme,
qui était maintenant un peu perplexe.
« Penses-y de cette façon, » dit Dieu.
« Tu es comme une bougie dans le Soleil.
Oh, tu y es, c’est certain.
Avec un million, un milliardion d’autres bougies qui constituent le Soleil.
Et le soleil ne serait pas le Soleil sans toi.
Non, il serait un soleil sans l’une de ses bougies…
et ça ne serait pas le Soleil du tout ;
car il ne brillerait pas avec autant d’éclat.
Et pourtant, comment te connaître en tant que Lumière
quand tu es parmi la Lumière – c’est la question. »
« Eh bien, » dit la Petite Âme toute ragaillardie,
« tu es Dieu. Trouve quelque chose ! »
Dieu sourit encore une fois. « Je l’ai déjà fait, » dit Dieu.
« Puisque tu ne peux pas te voir en tant que Lumière
quand tu es dans la Lumière, nous allons t’entourer d’obscurité. »
« Qu’est-ce que c’est, l’obscurité ? » demanda la Petite Âme.
Dieu répondit : « C’est ce que tu n’es pas. »
« Est-ce que j’aurai peur de l’obscurité ? » s’écria la Petite Âme.
« Seulement si tu le choisis, » répondit Dieu.
« Il n’y a vraiment rien à craindre,
à moins que tu ne le décides.
Vois-tu, nous inventons tout ceci. Nous faisons semblant. »
« Oh, » dit la Petite Âme, et déjà elle se sentait mieux.
Puis Dieu expliqua que pour pouvoir faire l’expérience de quoi que ce soit,
son exact opposé allait apparaître.
« C’est un grand cadeau, » dit Dieu,
« parce que sans cela, tu ne pourrais pas savoir à quoi ressemble quoi que ce soit.
« Tu ne pourrais pas connaître le Chaud sans le Froid,
le Haut sans le Bas, le Vite sans le Lent.
Tu ne pourrais pas connaître la Gauche sans la Droite,
Ici sans Là-bas, Maintenant sans Jadis.
« Et donc, » conclut Dieu,
« quand tu seras entouré par l’obscurité,
ne brandis pas ton poing et n’élève pas ta voix et ne maudis pas l’obscurité.
« Sois plutôt une Lumière vis-à-vis de l’obscurité,
et ne sois pas fâché de cela.
Alors tu sauras Qui Tu Es Vraiment, et tous les autres le sauront aussi.
Laisse tant briller ta Lumière que tous sauront combien tu es spécial ! »
« Tu veux dire que j’ai le droit de montrer aux autres
combien je suis spécial ? » demanda la Petite Âme.
« Bien sûr, » dit Dieu avec un gloussement.
« Tu en as tout à fait le droit !
Mais souviens-toi, “spécial” ne veux pas dire “meilleur”.
Tout le monde est spécial, chacun à sa façon !
Et pourtant bien des autres ont oublié cela.
Ils ne verront qu’ils ont le droit d’être spécial
que si toi-même tu reconnais que tu as le droit d’être spécial. »
« Wow, » dit la Petite Âme,
dansant et sautillant et riant et sautant de joie.
« Je peux être aussi spécial que je veux ! »
« Oui, et tu peux commencer tout de suite, »
dit Dieu, qui dansait et sautillait et riait avec la Petite Âme.
« Quelle partie du spécial veux-tu être ? »
« Quelle partie du spécial ? » répéta la Petite Âme,
« je ne comprends pas. »
« Eh bien, » expliqua Dieu, « être la Lumière, c’est être spécial,
et être spécial comprend beaucoup d’éléments.
C’est spécial d’être gentil. C’est spécial d’être doux.
C’est spécial d’être créatif. C’est spécial d’être patient.
Est-ce que tu peux trouver d’autres façons d’être qui sont spéciales ? »
La Petite Âme resta assise en silence pendant quelques instants.
« J’ai trouvé beaucoup de façons d’être spécial ! »
s’exclama alors la Petite Âme.
« C’est spécial d’être quelqu’un qui aide.
C’est spécial d’être quelqu’un qui partage.
C’est spécial d’être amical.
C’est spécial d’être attentif aux autres ! »
« Oui ! » approuva Dieu, « et tu peux être toutes ces choses,
ou n’importe quel élément du spécial
que tu souhaites être, à tout moment.
C’est ça que ça veut dire, être la Lumière. »
« Je sais ce que je veux être, je sais ce que je veux être ! »
annonça la Petite Âme toute excitée.
« Je veux être la partie du spécial qui s’appelle “celui qui pardonne”.
Est-ce que ce n’est pas spécial de pardonner ? »
« Oh oui, » assura Dieu à la Petite Âme. « C’est très spécial. »
« D’accord, » dit la Petite Âme.
« C’est ça que je veux être. Je veux être celui qui pardonne.
Je veux faire l’expérience d’être comme ça. »
« Bien, » dit Dieu, « mais il y a une chose que tu dois savoir. »
La Petite Âme commençait maintenant à s’impatienter un peu.
Il paraissait toujours y avoir des complications.
« Qu’est-ce que c’est ? » dit la Petite Âme en soupirant.
« Il n’y a personne à qui pardonner. »
« Personne ? » La Petite Âme pouvait à peine croire ce qui venait d’être dit.
« Personne ! » répéta Dieu. « Tout ce que j’ai fait est parfait.
Il n’y a pas une seule âme dans toute la création
qui soit moins parfaite que toi. Regarde autour de toi. »
C’est alors que la Petite Âme réalisa qu’une large foule s’était réunie.
Des âmes étaient venues de près et de loin – de tout le Royaume –
car la nouvelle s’était répandue
que la Petite Âme avait cette conversation extraordinaire avec Dieu,
et chacun voulait entendre ce qu’ils disaient.
Regardant les innombrables autres âmes réunies là,
la Petite Âme dût acquiescer.
Aucune ne paraissait moins merveilleuse, moins magnifique,
ou moins parfaite que la Petite Âme elle-même.
Tel était le prodige des âmes réunies autour d’elle,
et si brillante était leur Lumière,
que la Petite Âme pouvait à peine les regarder.
« Alors, à qui pardonner ? » demanda Dieu.
« Boy, ça ne va pas être drôle du tout ! » grommela la Petite Âme.
« Je voulais faire l’expérience d’être Celui Qui Pardonne.
Je voulais savoir quel effet ça faisait d’être cette partie-là du spécial. »
Et la Petite Âme apprit ce que c’était que d’être triste.
Mais juste à ce moment-là, une Âme Amicale s’avança de la foule.
« Ne t’inquiète pas, Petite Âme, » dit l’Âme Amicale, « je vais t’aider. »
« Tu vas m’aider ? » la Petite Âme s’illumina.
« Mais qu’est-ce que tu peux faire ? »
« Je peux te donner quelqu’un à qui pardonner, tiens ! »
« Tu peux ? »
« Certainement ! » gazouilla l’Âme Amicale.
« Je peux venir dans ta prochaine vie et faire
quelque chose que tu pourras pardonner. »
« Mais pourquoi ? Pourquoi ferais-tu cela ? » demanda la Petite Âme.
« Toi qui es un Être d’une telle perfection achevée !
Toi, qui vibres à une telle vitesse
que cela crée une Lumière si brillante que je peux à peine te regarder !
Qu’est-ce qui pourrait te faire vouloir ralentir ta vibration
à une telle vitesse que ta brillante Lumière deviendrait sombre et dense ?
Toi qui es si léger que tu danses sur les étoiles
et que tu te déplaces à travers tout le Royaume à la vitesse de ta pensée –
qu’est-ce qui te ferait venir dans ma vie
et te rendre si lourd que tu pourrais faire cette mauvaise chose ? »
« C’est simple, » dit l’Âme Amicale, « je le ferais parce que je t’aime. »
La Petite Âme parut surprise par la réponse.
« Ne sois pas si stupéfait, » dit l’Âme Amicale,
« tu as fais la même chose pour moi.
Tu ne te souviens pas ? Oh, nous avons dansé ensemble,
toi et moi, bien des fois. À travers les éternités et les âges,
nous avons dansé. À travers le temps tout entier,
et dans bien des lieux, avons nous joué ensemble.
C’est juste que tu ne te souviens pas.
« Nous avons tous deux été l’Ensemble de Toutes Choses.
Nous en avons été le Haut et le Bas, la Gauche et la Droite.
Nous en avons été le Ici et le Là-bas, le Maintenant et le Jadis.
Nous avons été le mâle et le femelle, le bon et le mauvais –
nous en avons été et la victime et le méchant.
« Ainsi nous nous sommes rencontrés,
toi et moi, maintes fois auparavant ;
chacun apportant à l’autre l’exacte et parfaite occasion
d’Exprimer et d’Expérimenter Qui Nous Sommes Vraiment.
« Et donc, » continua d’expliquer l’Âme Amicale,
« Je vais venir dans ta prochaine vie et cette fois-ci je serai le « méchant ».
Je ferai quelque chose de vraiment terrible,
et alors tu pourras faire l’expérience d’être Celui Qui Pardonne. »
« Mais que vas-tu faire, » demanda la Petite Âme,
un tout petit peu nerveuse, « qui sera si terrible ? »
« Oh, » répondit l’Âme Amicale avec une étincelle,
« nous trouverons bien quelque chose. »
Puis l’Âme Amicale parut devenir sérieuse, et dit d’une voix douce :
« Tu as raison à propos d’une chose, tu sais. »
« Et c’est quoi ? » voulut savoir la Petite Âme.
« Il me faudra ralentir ma vibration et devenir très lourd
pour faire cette chose pas-très-gentille.
Il me faudra prétendre être quelque chose de très différent de moi.
Alors, j’ai une seule et unique faveur à te demander en échange. »
« Oh, n’importe quoi, n’importe quoi ! » s’écria la Petite Âme,
et elle commença à danser et à chanter.
« Je vais pouvoir pardonner, je vais pouvoir pardonner ! »
Puis la Petite Âme vit que l’Âme Amicale restait toute silencieuse.
« Qu’est-ce qui se passe ? » demanda la Petite Âme.
« Qu’est-ce que je peux faire pour toi ?
Tu es un tel ange de bien vouloir faire ceci pour moi ! »
« Bien sûr que cette Âme Amicale est un ange ! » interrompit Dieu.
« Tous le sont ! Souviens-toi toujours :
je ne t’ai jamais envoyé que des anges. »
Alors la Petite Âme voulut plus que jamais exaucer la demande de l’Âme Amicale.
« Qu’est-ce que je peux faire pour toi ? »
demande de nouveau la Petite Âme.
« Au moment où je te frapperai et te terrasserai, » répondit l’Âme Amicale,
« au moment où je ferai la pire chose que tu puisses imaginer –
à ce moment précis… »
« Oui ? » interrompit la Petite Âme, « oui...? »
L’Âme Amicale devint encore plus silencieuse.
« Souviens-toi de Qui Je Suis Réellement. »
« Oh, je le ferai ! » s’écria la Petite Âme, « je le promets !
Je me souviendrai toujours de toi
comme je te vois ici même, à cet instant ! »
« Bien, » dit l’Âme Amicale, « parce que, vois-tu,
j’aurai fait semblant tellement fort, que je me serai oublié.
Et si tu ne te souviens pas de moi tel que je suis réellement,
je ne pourrai peut-être pas m’en souvenir pendant très longtemps.
Et si j’oublie Qui Je Suis, tu peux même oublier Qui Tu Es,
et nous serons perdus tous les deux.
Alors nous aurons besoin qu’une autre âme s’en vienne
et nous rappelle à tous les deux Qui Nous Sommes. »
« Non, cela ne se passera pas ! » promit de nouveau la Petite Âme.
« Je me souviendrai de toi !
Et je te remercierai de m’apporter ce cadeau –
la possibilité de faire l’expérience de Qui Je Suis. »
Et ainsi, l’accord fut conclu.
Et la Petite Âme s’engagea dans une nouvelle vie,
toute excitée d’être la Lumière, ce qui était très spécial,
et toute excitée d’être cette partie du spécial appelée le Pardon.
Et la Petite Âme attendit anxieusement
de pouvoir faire l’expérience d’être Celui Qui Pardonne,
et de remercier l’Âme qui le lui permettrait.
Et dans tous les moments de cette nouvelle existence,
chaque fois qu’une nouvelle âme faisait son apparition,
que cette nouvelle âme amène de la joie ou de la tristesse –
et surtout si elle amenait de la tristesse –
la Petite Âme pensait à ce que Dieu avait dit.
« Souviens-toi toujours, » et Dieu avait souri,
« je ne t’ai jamais envoyé que des anges. »
Sortir de la dualité des émotions
Le 07/08/2013
SORTIR DE LA DUALITE DES EMOTIONS
Ou comment retrouver un équilibre de vie !
Le constat est simple, nous sommes conditionnés par notre culture et nos expériences de vécus émotionnels. Toutes nos émotions sont donc soumises à notre perception du monde et à la dualité de la vision de notre société les concernant.
Pour arriver à se libérer de cet ensemble de notions réductrices et enfermantes et pour tendre vers un équilibre personnel émotionnel et affectif, les thérapies intégratives sont de plus en plus enclin à proposer des solutions adaptées à chaque individu et personnalité.
La dualité, une norme sociale
Il est intéressant dans un premier temps de se rappeler d’où viennent ces normes et cette standardisation de la pensée. Se souvenir qu’au travers de l’histoire de nos sociétés judéo-chrétiennes et des dogmes qu’elles véhiculent, que nous connaissons tous plus ou moins, une évolution progressive se fait quant aux règles morales et éthiques.
Pourquoi alors se priver d’essayer d’améliorer ces règles de vie aujourd’hui afin qu’elles continuent de contribuer à notre bien-être ?
Les normes sociales actuelles sont très souvent duelles, le bien et le mal ; le positif et le négatif ; le juste et le faux ; le blanc et le noir. De ces normes sont souvent exclues la voie du milieu qui nous permettrait de sortir de cette dualité et d’atteindre une position méta qui nous déculpabiliserait de les ressentir.
Pourquoi alors continuer de s’y soumettre ?
Les individus qui constituent une société fonctionnent ainsi car un cadre social à travers les règles et les lois qui le compose, permettent de vivre en communauté dans un certain consensus, de garantir ainsi leur sécurité. La sécurité de liberté individuelle devant s’équilibrer par rapport à la sécurité d’appartenance à un groupe. La liberté est donc mise en balance face au besoin de reconnaissance.
Les émotions soumises à la dualité
Les exemples d’émotions soumises à cette dualité sont légion mais le plus répandu est certainement celui de la colère et de la tristesse. Il reste encore aujourd’hui difficile de changer les mœurs liées à cette croyance, « les hommes ne doivent pas pleurer et les femmes n’ont pas le droit d’être en colère ». La puissance de l’homme est remise en question s’il exprime sa tristesse et la femme voit sa féminité dénaturée par le regard de l’autre si elle se met en colère.
L’affectif est soumis à la même dualité entrainant de plus en plus un clivage dans les couples modernes. La sexualité se détache de la reproduction du fait de la contraception, l’acte sexuel prend de la distance vis-à-vis de l’amour (besoin d’érotisation satisfait par des films et des livres).
Sortir de la dualité, mais dans quel but ?
L’intérêt d’un changement de perception passant par la position méta permet d’avoir un regard détaché sur ses émotions. La position méta est une position qui permet un regard détaché sur son vécu. Elle est donc utile ponctuellement pour permettre à l’individu de se libérer de croyances, de conditionnements liés à l’éducation ou aux poids résultant de normes sociales qui ne correspondent pas avec ses valeurs intrinsèques. Ceci est l’un des angles d’approche qu’utilise les thérapies et techniques de développement personnel.
L’hypnose ericksonienne (Milton Erickson) utilise le procédé de dissociation pour atteindre cette position privilégiée d’observateur méta. La Hot Seat (Fritz Pearls) permet également à travers un état modifié de conscience, d’obtenir un point de vue systémique d’une problématique et donc d’avoir le recul de cette même position.
Un autre est celui de l’approche cathartique. A travers un travail que fait l’individu sur ses permissions et capacités de se reconnecter avec ses émotions, il découvre la possibilité de les vivre pleinement jusqu’à leur paroxysme pour atteindre la résilience.
La bioénergie (Willem Reich) à travers des acting (protocole de mise en mouvement du corps) favorise cette reconnexion. La somato-thérapie (Richard Meyer) est une approche intégrative holistique qui regroupe un ensemble de techniques psycho-corporelles qui font appel à la mémoire cellulaire du corps dans cet objectif qu’est l’atteinte de la catharsis.
Que ce soit par l’un ou l’autre angle, l’objectif ultime est de prendre conscience du choix que chacun possède. Bien vivre ses émotions ne dépend que de nous. C’est un voyage dans et vers soi-même à la rencontre de soi et des autres.
Conclusion
Mon propos dans cet article invite au retour sur soi. Nous sommes certes soumis à une éducation inculquant des valeurs qui ne sont pas les nôtres et à un apprentissage de normes sociales, mais nous restons libre de dépasser cette condition et de nous en affranchir. Avez-vous envie de prendre cette décision ? Nous avons vu, à travers une liste non-exhaustive, qu’il existe de nombreuses techniques accessibles et variées qui vous en offrent la possibilité. Sortir de la dualité de sa perception est donc à porté de conscience ? Ferez-vous ce pas ? … JE CHOISIS, JE SUIS !
Didier Friederich,